La psychomotricité peut être utile à tous les âges de la vie, à chaque fois qu’un événement, un handicap, une maladie, un accident peut entraver la psychomotricité de la personne. Quelques exemples :
Bébés/Nourrissons :
Prématurité : bilan de « contrôle », action de prévention sur comment masser bébé, comment le stimuler
Retard de développement : Difficultés pour redresser sa tête / se retourner / acquérir la marche, etc…
Difficultés relationnelles/difficultés à jouer : le bébé ne regarde pas, n’est pas intéressé par des jeux, etc… Des troubles de type autistique peuvent être détectés dès la première année de vie, il est donc primordial de porter attention aux capacités d’interaction du jeune enfant.
Enfants :
Trouble des apprentissages suspecté ou avéré : difficultés scolaires, trouble du comportement, maladresse très présente, difficultés dans les actes de la vie quotidienne (s’habiller, se laver, …).
Troubles neuro-développementaux : dyspraxie (difficultés de réalisation du geste), dysgraphie (difficultés d’écriture), TDAH (trouble déficitaire de l’attention avec hyper-activité motrice), TSA (trouble du spectre de l’autisme, etc…)
Handicap physique et/ou mental : Fréquemment le handicap génère des difficultés psychomotrices et un besoin de rééducation. Le fait d’être en établissement n’empêche pas la prise en charge en libéral, qui peut s’avérer très complémentaire.
A l’adolescence/chez les adultes :
A l’adolescence/chez les adultes :
Troubles du comportement alimentaire (prise de conscience du corps, relaxation)
Dépression, gestion du stress et des émotions
Maladies chroniques et neuro-dégénératives
Après un trauma crânien, un AVC…
Handicap physique et/ou mental
Chez les personnes âgées :
Perte d’autonomie, des fonctions motrices et cognitives
Modification de l’image du corps et perte de confiance en ses capacités motrices (syndrome post-chute, amputation diabétique, douleurs chroniques…)